Protocole 2010

Le secrétaire d'Etat aux transports, Dominique Bussereau, a annoncé en grande pompe la signature d'un « accord social » avec sept syndicats de la DGAC, avant même la signature effective de certains syndicats. Rien d'étonnant pour le SNCTA et le SATAC. La CFTC membre d'ETF accepte désormais Mosaic et la CFDT réserve encore sa signature. Les signatures des tro

Le protocole conclu entre la DGAC et des organisations syndicales minoritaires le 23 juillet dernier est aujourd'hui rendu caduc par l'opposition formelle de l'Intersyndicale CGC-CGT-FO-UNSA IESSA.Pourquoi faut-il rejeter ce texte ?

Conformément à la loi, l’Intersyndicale dénonce l’ « accord » social à la DGAC du 29 juillet et demande de réelles négociations.Paris, le 30 juillet 2010L’Intersyndicale CGC-CGT-FO-UNSA-IESSA défend une construction européenne du ciel unique sans casse sociale sur l

29 juillet - Le ministère annonce dans son communiqué à la presse avoir signé ce jeudi 29 juillet, un protocole avec plusieurs syndicats minoritaires de la DGAC (voir le communiqué de presse du ministère ci-dessous). L'Administration utilise un nombre important de petits syndicats pour essayer de faire valider sa politique néfaste, mais ces s

La version finale du protocole est proposée à la signature des syndicats. Les points négatifs restent toujours aussi nombreux. Au delà de l'orientation du gouvernement pour la fusion dans le cadre du FABEC, d'autres points sont tout aussi néfastes, notamment pour les IESSA et les services techniques.

Le texte définiitif du protocole 2010 a été négocié sans les représentants de la majorité des personnels, l'Intersyndicale qui représente 53%.Le texte sera soumis à la signature d'ici le 29 juillet au ministère.

Alors que les mots « prestataire intégré » étaient soigneusement retirés du protocole afin d'abuser les syndicats trop crédules, le gouvernement de son côté confirmait son orientation prise le 11 janvier...Suite dans le fichier joint !

L’Intersyndicale CGC, CGT, FO, UNSA-IESSA avait maintenu son préavis de grève pour le 21 juillet car le gouvernement n’a pas changé sa stratégie de fusion des prestataires au sein du FABEC. En effet, même si toute référence a été supprimée du protocole, la position gouvernementale du 11 janvier y est rappelée et les mécanismes conduisant à la fusion