Le nombre de places offertes à l'examen professionnel et à la sélection professionnelle ainsi que leur répartition seront fixés ultérieurement par arrêté.
Les dates de clôture des inscriptions sont fixées comme suit :
Examen professionnel : 17 décembre 2010 (terme de rigueur) ;
Sélection professionnelle : 17 décembre 2010 (terme de rigueur).
Les épreuves de l'examen professionnel et de la sélection professionnelle, qui sont exclusivement orales, débuteront le 15 mars 2011.
La composition des jurys et les listes des candidats admis à concourir feront l'objet d'un arrêté du ministre chargé de l'aviation civile.
Arrêté du 25 octobre 2010 autorisant au titre de l'année 2011 l'ouverture d'un examen professionnel…
30-10-2010
Publications assoc|iées
Circulaire du 10 février 2012 relative aux autorisations d’absence pouvant être accordées à l’occasion des principales fêtes religieuses des différentes confessions
Tenu à une date plus tardive qu'à l'habitude, ce groupe de suivi des 32 heures a réparti les affectations des ICNA en approche et des TSEEAC contrôleurs pour le premier semestre 2012. Si quelques approches tirent leur épingle du jeu, la situation des aérodromes contrôlés n'est plus préoccupante, elle est catastrophique. Lire la suite en cliquant ci dessous...
L'USAC-CGT s'est battue contre cette réforme injuste, qui a été promulguée malgré des mobilisations rassemblant plusieurs millions de manifestants.Aujourd'hui, le gouvernement raccourcit d'un an la phase de transition.
Contrairement à ce que veut faire croire la DSNA, une délocalisation d'approche dégrade non seulement la qualité de service, mais aussi la sécurité si des études préalables ne sont pas menées sérieusement. Depuis le déclassement de l'approche de St Etienne, elle s'assoit sur ces études et espère délocaliser tambour battant 15 approches en « 5 à 10 ans ». De plus, ces décisions
Arrêté du 9 janvier 2012 fixant le nombre et la répartition des places offertes pour le recrutement de TSEEAC (concours et examen professionnel)
Sous prétexte de la dette publique, dont nous avons vu dans un tract précédent ce qu'il fallai