Après avoir « amputé » le débat et « mis au pas » l'Assemblée Nationale et le Sénat, la loi portant réforme des retraites a été promulguée en catimini dans la nuit du 10 novembre. cette promulgation montre une nouvelle fois le mépris avec lequel le gouvernement, Nicolas Sarkozy en tête, traite les salariés de notre pays. Pour la CGT, cela ne change rien! Notre détermination à poursuivre la bataille est intacte, d'autant que les premières dispositions d'importance de la réforme ne s'appliqueront qu'à partir de juillet 2011. D'ici là, il peut se passer encore beaucoup de choses.
Casse de nos retraites : Quand une loi est injuste, la combattre est un devoir!
17-11-2010
Publications assoc|iées
L'USAC-CGT, appelle les personnels de la DGAC à se mettre encore plus nombreux en grève, le 12 octobre et à participer aux manifestations, dans le cadre de l'appel unitaire, intersyndical et interprofessionnel.
Les organisations syndicales considèrent que la journée nationale d’action du 23 septembre 2010 est un franc succès. Les salariés du public et du privé, en participant massivement à cette 2ème journée de grèves et de manifestations du mois de septembre, ont réaffirmé leur détermination à ne pas accepter une réforme injuste et inefficace.
Le 23 septembre, l’ensemble des organisations syndicales appellent les salariés à faire grève et à manifester avec les retraités, les privés d’emploi, les jeunes. De nombreux arrêts de travail signifieront que les salariés n’acceptent pas de payer la crise financière et économique, dont ils ne sont en rien responsables.
Le mouvement intersyndical et interprofessionnel pour la défense du système des retraites réinvestit l'espace public le 23 septembre. Renforçons la mobilisation!
Une mobilisation massive qui appelle des suites.Le mouvement national pour la défense du système des retraites du 7 septembre a été un succès incontestable : plus de 2,5 millions de personne ont répondu à l'appel de toutes les organisations syndicales interprofessionnelles.
Fortes de la réussite exceptionnelle du 7 septembre les organisations syndicales considèrent que les annonces du Président de la République, qui se voulaient une réponse aux mobilisations, ne modifient pas le caractère injuste et inacceptable de la réforme proposée.