Après avoir « amputé » le débat et « mis au pas » l'Assemblée Nationale et le Sénat, la loi portant réforme des retraites a été promulguée en catimini dans la nuit du 10 novembre. cette promulgation montre une nouvelle fois le mépris avec lequel le gouvernement, Nicolas Sarkozy en tête, traite les salariés de notre pays. Pour la CGT, cela ne change rien! Notre détermination à poursuivre la bataille est intacte, d'autant que les premières dispositions d'importance de la réforme ne s'appliqueront qu'à partir de juillet 2011. D'ici là, il peut se passer encore beaucoup de choses.
Casse de nos retraites : Quand une loi est injuste, la combattre est un devoir!
17-11-2010
Publications assoc|iées
Le mouvement contre la loi injuste sur les retraites s'amplifie etprend d'ores et déjà de nouvelles formes. Le gouvernementdevra reculer. La mobilisation a déjà été forte à la DGAC à l'appelde l'USAC-CGT. Cette protestation légitimée par un soutien massif dela population doit se poursuivre et s'amplifier.
Le gouvernement persiste à vouloir faire adopter sa réforme des retraitesmalgré des arrêts de travail et des manifestations de plus en plus massifs etune opinion publique largement défavorable. Les syndicats de l’intersyndicaleDGAC trouvent cette réforme socialement injuste et soutiennent l’actionnationale entreprise de façon unitaire par toutes les confédérations s
Monsieur le Ministre,La journée du 12 octobre a constitué, au plan interprofessionnel, une nouvelle journée d’action unitaire, de manifestations et de grève contre le projet de loi gouvernemental sur les retraites. Elle a été partout d’un niveau exceptionnel.A l’évidence, nous sommes aujourd’hui entrés dans
Une très forte mobilisation à la DGAC, avec plus de 40% des personnels en grève dans les services opérationnels lors de la journée du 12 octobre. C'est incontestablement un succès pour toutes celles et tous ceux qui veulent faire échec au projet injuste du gouvernement sur les retraites.
COMMUNIQUE DU BUREAU NATIONALSur le dossier des retraites, comme sur les questions de l’emploi, du pouvoir d’achat, des services publics, le gouvernement affiche toujours la même intransigeance.L’opinion publique exige l’ouverture d’un réel processus de négociations sur les revendica


