Effectif IESSA - Comment faire passer la RGPP dans les services techniques

25-09-2011
La politique gouvernementale pour la fonction publique se résume à la RGPP. Face à ce dogme imposé, notre direction a imaginé des solutions palliatives pour faire fonctionner malgré tout les services techniques. Le BO réduit de 3,5% en catimini et le refus d'ouvrir à la CAP d'automne les AVE nécessaires aux services techniques est une première étape.
Pour l'USAC-CGT, les effectifs IESSA sont déjà très insuffisants pour respecter l'exigence des ESARR, assurer la formation et relever les défis technologiques à court terme. La DSNA utilise les États Généraux, les politiques RNAV et « basses couches » pour réduire les effectifs.
De nombreux AVE IESSA ne seront pas ouverts à la CAP.
NE NOUS LAISSONS PAS RÉDUIRE, VOTONS USAC-CGT
Pour plus d'informations, lire le tract ci joint.
Précédent
Suivant

Publications assoc|iées

Deux grands projets viennent mettre à mal la sécurité dans les Grandes Approches de province (sept sites concernés) en dégradant le service support « surveillance air » pourtant essentiel : le décommissionnement du système DACOTA et celui des radars primaires d’approche. L'USACcgt vous explique pourquoi.
Alors que le protocole social n’a été signé par aucune des OS représentative des IESSA, l’administration locale a lancé les GT filière technique. Nous avions accepté d’y participer en définissant des lignes à ne pas franchir : remise en cause du temps de travail, non reconnaissance du sous-effectif et mise en place d’astreinte. Après seulement 3 réu
Au programme de ce CSA DO, il y avait entre autre : une note cadre sur l’organisation du travail des contrôleurs aériens, un mandat d’étude pour la création d’une CNGR (Cellule Nationale de Gestion du Réseau) aux prérogatives étendues, une étude quant au dimensionnement cible des organismes d’approche rattachés à un organisme d’approche siège SNA,
Au programme de ce CSA DSNA, un certain nombre de textes issus du protocole, mais aussi d’autres sujets tout aussi importants, étaient à l’ordre du jour. Comme à son habitude, la DSNA a su briller par la pauvreté de son dialogue social : le CSA n’était là que pour cocher la case « dialogue social », sans aucune volonté de négocier quoi que ce soit.