Lors de la nuit du 21 au 22 juillet 2010 nos collègues astreints ont vécu une nuit extrêmement difficile durant laquelle leurs conditions normales de travail et la sécurité des usagers n’ont pas été garanties. Il ne fait aucun doute que cette situation résulte de négligences coupables et de paris hasardeux de la part de notre encadrement.