En augmentant arbitrairement et sans aucune concertation le nombre de requis, la DO envoie un message clair à ses agents : l’exercice du droit de grève doit être puni, et le trafic passe avant tout. Cela a déjà été fait ailleurs, parfois en temps réel, et même jusqu’à 100 % de l’effectif dans certains centres. C’est aujourd’hui notre tour…