Sera-t-on bientôt dans l'obligation de refuser des vols à Lorraine Airport faute de contrôle aérien ? C'est la question qui se pose depuis que la DGAC a affiché sa volonté de réviser de nouveau à la baisse le Besoin Opérationnel (en clair les effectifs de contrôleurs) de la plateforme Lorraine. Cette décision unilatérale nuirait pourtant gravement à l'avenir de l'aéroport.... lire la suite dans le tract ci-dessous.
La DGAC menace l'exploitation de Lorraine Airport
07-04-2016
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L’administration, habituellement peu prompte à l’anticipation pour affecter du personnel, saitse montrer véloce lorsqu’il s’agit de dépecer un organisme.
Un récent tract du SNCTA, LE (seul) syndicat qui demande clairement à l'administration la fermeture de services au sein de la DGAC, LE fossoyeur de certaines approches, entend ressusciter certaines craintes au détriment de collègues qu'il est pourtant censé protéger. Le monde à l'envers ! Ce tract concerne, en fait, une minorité de contrôleurs de MNL !
Les intentions de la Direction des Opérations pour les espaces inférieurs étaientconnues de longue date : déclasser la moitié des approches métropolitaines. L'annoncedes transferts des approches de Grenoble et de Metz-Nancy-Lorraine, respectivement àLyon et Strasbourg, inaugurent cette nouvelle politique « basses couches ». Quant à la listecomplète des centres menacé
Depuis le 29 juillet 2010, soit le jour où quelques syndicats représentant une minorité des personnels ont signé le texte de protocole social qui leur était proposé, l'administration a eu la confirmation qu'elle avait le soutien de certains pour supprimer plus de la moitié des 33 organismes d'approche métropolitains. En visite à Metz-Nancy-Lorraine fin mars, le chef SNA/NE a annoncé �
Au prétexte de la politique gouvernementale de réduction du nombre de fonctionnaires, l'administration commence à remanier les effectifs des approches à tour de bras. Cette partie de chamboule-tout, organisée en dépit du bon sens, n'arrange rien aux conditions de travail des agents du SNA Nord-Est qui souffrent déjà de la non-attractivité de leurs centres.