Premier succès : Une très forte mobilisation dans tous les corps.
Bilan du premier jour de grève
13-01-2010
Publications assoc|iées
Monsieur François FILLONPremier MinistreHôtel Matignon57, rue de Varenne75007 PARISMontreuil, le 16 février 2010Monsieur le premier ministreLe 11 janvier 2010, le gouvernement, par la voie de son Secrétaire d’Etat aux Transports, a annoncé
Mobilisation des 13 et 14 janvier : rappels- Les AG de janvier et le préavis de grève demandaient :> Le retrait du projet d’EPA.> La mise en oeuvre du FABEC sur un modèle coopératif.> Une véritable négociation sur les recrutements 2010-2011.> L’ouverture d’un volet social.- Réponse du ministre le 11 janvier à l’
Les syndicats SNICAC-CGC, USAC-CGT, SNNA-FO, SNPACM-FO et UNSA-IESSA représentant la majorité des personnels de la DGAC, réunis en intersyndicale appellent les personnels à la grève du mardi 23 février matin au samedi 27 février matin.L’intersyndicale dénonce le démantèlement annoncé de la DGAC et les graves menaces que cela fait peser sur les statuts des personnels, conséquen
La communication de la DGAC pour minimiser la grève des 13 et 14 janvier n'a pas masqué l'impact réel du mouvement tant au niveau européen que français. Le gouvernement ne changeant pas sa position, à nous de montrer, collectivement, notre détermination contre le projet de démantèlement de la DGAC. Il n'est plus temps de ne pas faire grève par principe.
Les syndicats SNICAC-CGC, USAC-CGT, SNNA-FO, SNPACM-FO et UNSA-IESSA représentant la majorité des personnels de la DGAC, réunis en intersyndicale appellent les personnels à la grève du mardi 23 février matin au samedi 27 février matin.L’intersyndicale dénonce le démantèlement annoncé de la DGAC et les graves menaces que cela fait peser sur les statuts des personnels, conséquen
Le mouvement de grève des 13 et 14 janvier a surpris la direction par son ampleur.Les personnels lancent un puissant message d'opposition au démantèlement de la DGAC, à la disparition de la DSNA dans un projet fumeux de restructuration des services du contrôle aérien au niveau du FABEC et à la remise en cause des statuts des personnels. Le ministre, en suivant aveuglément quelque