Rassemblement des personnels DGAC le 26 février dès 9h30 au Ministère au 246 Boulevard Saint Germain 75007 Paris
Rassemblement des personnels DGAC le 26 février dès 9h30 Métro Solferino - Place Jacques Bainville
23-02-2010
Publications assoc|iées
La communication de la DGAC pour minimiser la grève des 13 et 14 janvier n'a pas masqué l'impact réel du mouvement tant au niveau européen que français. Le gouvernement ne changeant pas sa position, à nous de montrer, collectivement, notre détermination contre le projet de démantèlement de la DGAC. Il n'est plus temps de ne pas faire grève par principe.
Le 11 janvier 2010, le Secrétaire d’Etat aux transports, Dominique Bussereau, a reçu tous les syndicats de la DGAC. Il leur a annoncé :que la France allait défendre la création, d’ici à fin 2012, d’un organisme international pour rendre les services de la navigation aérienne en France, en Allemagne, en Suisse et
Les syndicats SNICAC-CGC, USAC-CGT, SNNA-FO, SNPACM-FO et UNSA-IESSA représentant la majorité des personnels de la DGAC, réunis en intersyndicale appellent les personnels à la grève du mardi 23 février matin au samedi 27 février matin.L’intersyndicale dénonce le démantèlement annoncé de la DGAC et les graves menaces que cela fait peser sur les statuts des personnels, conséquen
Les 13 et 14 janvier derniers, de nombreux personnels du CRNA-Ouest se sont mobilisés pour s'opposer au démantèlement de la DGAC et à la fusion des prestataires des services de la navigation aérienne.LA MOBILISATION DES AGENTSPour les ICNA en sa
Les chiffres sont là: les athégiens ne veulent pas d'un organisme fusionné dans le cadre du FABEC. Les manipulations de la DGAC en témoignent à elles seules: la réalité comptable de la grève désavoue l'orientation ministérielle.
Le mouvement de grève des 13 et 14 janvier a surpris la direction par son ampleur.Les personnels lancent un puissant message d'opposition au démantèlement de la DGAC, à la disparition de la DSNA dans un projet fumeux de restructuration des services du contrôle aérien au niveau du FABEC et à la remise en cause des statuts des personnels. Le ministre, en suivant aveuglément quelque