Depuis le 7 juin dernier, l'administration a rigidifié le contrôle de présence des opérationnels. Sans aucune plus-value technique, la mesure a même démontré ses limites : fin de la souplesse de gestion des ressources humaines, climat de défiance inédit entre la DGAC et ses agents, dégradation de la qualité du service rendu aux usagers. L'USAC-CGT demande un espace de négociation sur cette question.
Contrôle de présence : pour un système souple, transparent et légal
05-10-2010
Publications assoc|iées
Le Bureau national de l'USAC-CGT vient régulièrement à la rencontre des personnels. La Fonction publique, les réformes successives de la DGAC et son avenir, la question des statuts, les enjeux européens et le Fabec... autant de sujets que nous sommes venus exposer lors de réunions débats ayant toujours connu une réelle affluence.
Cela va bientôt faire un an que la plupart des ICNA, IESSA et TSEEAC ne touchent pas leurs indemnités de travail de nuit. La DGAC n'a toujours pas communiqué sur le problème et les services commencent à peine à y palier. L'USAC-CGT a saisi le DGAC.
Ce CTP avait initialement été proposé par le Directeur pour s'occuper des questions diverses non traitées depuis plusieurs CTP, certains espérant le transformer en comité de suivi du protocole caduc.L'ordre du jour envoyé par la direction était finalement loin de se limiter à cela : des GT vont se réunir pour étudier la refonte du régime indemnitaire des personnels techniques, a
Décret n° 2011-754 du 28 juin 2011 portant relèvement des bornes d'âge de la retraite des fonctionnaires, des militaires et des ouvriers des établissements industriels de l'Etat.Déclaration de la CGT sur cette question.