Contrôle de présence : pour un système souple, transparent et légal

05-10-2010

Depuis le 7 juin dernier, l'administration a rigidifié le contrôle de présence des opérationnels. Sans aucune plus-value technique, la mesure a même démontré ses limites : fin de la souplesse de gestion des ressources humaines, climat de défiance inédit entre la DGAC et ses agents, dégradation de la qualité du service rendu aux usagers. L'USAC-CGT demande un espace de négociation sur cette question.

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Nouvelle réunion des Etats généraux (15 novembre 2011) marqués par de vifs débats entre l'USAC-CGT et les partisans d'un renforcement d'une gestion strictement catégorielle des emplois et d'un accroissement des inégalités de rémunérations sur les postes d'encadrement et d'étude à responsabilité et ancienneté égales.
Les syndicats voulaient discuter prioritairement du rattrapage indemnitaire suite au gel des primes sur 2010 et 2011 ainsi que de la nouvelle indexation à mettre en place. Le Secrétariat général ne voulait discuter que des aspects techniques d'une refonte des systèmes indemnitaires. La réunion s'est rapidement soldée par un blocage.
Voici quelques mises au point rendues nécessaires par l'insistance fébrile de certains à brandiren cette période électorale ce thème récurrent du CUDE (corps unique d'encadrement,semble-t-il) contre l'USAC-CGT, sigle que nous n'avons d'ailleurs jamais utilisé : voir tract ci joint.
Pour l'USAC-CGT, la défense du périmètre de la DGAC n'est pas qu'un thème de campagne, ainsi nos collègues de Metz-Nancy-Lorraine sont entrés dans une phase décisive pour la défense de leur approche et l'USAC-CGT les soutient et les aide à se mobiliser de manière pertinente. Une manifestation de soutien sera organisée le 8 octobre, jour de grève à MNL pour dire NON à la politi