Lors de l’adoption par le parlement de la loi concernant la déclaration individuelle préalable, notre ministre avait évoqué une révision du décret de 85 qui régit actuellement les modalités d’application du service minimum à la DGAC. Le SNCTA s’était bercé d’illusions, apportant, fait inédit dans le monde syndical, son soutien à une loi visant à restreindre le droit de grève des agents contre la promesse, visiblement non tenue, d’un dimensionnement revu drastiquement à la baisse du service minimum.