La première des tentations pour l’administration pour gérer un sous-effectif est de limiter la mobilité. En effet, moins de mutations entraîne moins d’agents en formation et plus d’agents opérationnels. C’est vrai pour tous les corps, y compris aujourd’hui pour les ICNA, même si les syndicats signataires de ce communiqué s’opposent fermement à cette restriction. Il devient alors encore plus important d’établir une réelle équité pour l’accès à la mobilité. Ce n’est pas le cas aujourd’hui pour un seul corps de la DGAC, celui des ICNA, pour lequel le seul critère retenu est l’ancienneté de promo.
L’USAC-CGT, l’UNSA-ICNA, FO et la CFDT sont pour une prise en compte de l’ancienneté de centre, en plus de l’ancienneté de promo.